Je ne suis pas ta mère – Dédicacé
18,01 €
Je ne suis pas ta mère raconte le parcours d’une petite Haïtienne. Née dans le chaos, à Port au Prince durant le règne du dictateur Jean-Claude Duvalier, son histoire s’entremêle avec celles des femmes qui l’ont élevée. Il s’agit des grand-mères, mère, tante. Ainsi, on découvre Haïti durant les années 60, le quartier de la Goutte d’Or dans le 18ème arrondissement de Paris fin des années 80…Plus loin, la banlieue Parisienne, durant son adolescence et puis les majestueuses rues Parisiennes de nos jours.
Jalonnées d’obstacles, la vie de ces femmes est l’occasion, pour l’auteure, de pointer du doigt les tabous qui pourrissent les relations ainsi que le secret qui divise les familles. Ecrit à la première personne, le récit dessine une fresque familiale terrible dans laquelle, ces femmes sont enfermées dans un huit-clos mental. Elles se croisent sans jamais se rencontrer jusqu’au moment où le secret qu’elles partagent est devenu un fardeau assassin pour la benjamine, qui n’est autre que l’auteure.
Pour ne pas sombrer dans la folie, pour briser les chaines, pour ses filles aussi, elle a écrit. Elle a nommé le mal et il prend racine en Haïti. Bienvenue en enfer !
J’ai l’impression d’avoir passé le week-end avec toi !. Ton livre est bouleversant ! Ton histoire est vraiment touchante et bizarrement très familière.
J’ai fini ! Et bravo tu écris ✍️ super bien j’ai jamais lu sagan donc je ne ferais pas cette référence mais moi ça pourrait me faire penser à Delphine de Vigan rien ne s’oppose à la nuit … mais en même temps c’est ton livre donc ton style 😉 j’espère qu’il aura le succès qu’il mérite
Tu m'as fait pleuré je viens de finir ton livre . Merci et bravo. Désolée j'ai pas les mots. C'est fort ce que tu as fait.
C’est du germinal écrit par une femme noire.
Je viens de terminer votre livre, et je suis sous le choc. Bien sûr, je suis bouleversé par votre récit, frappé par votre énergie, votre volonté, que vous tenez largement de votre grand-mère, les événements qui vous ont marquée, par vos épreuves. Frappé aussi par la vie de banlieue, du moins de certaines banlieues, la vie de ces jeunes des milieux immigrés, de ces filles, surtout, dont on n’a guère idée dans les beaux quartiers ou les quartiers tranquilles. Ce que je voulais surtout vous dire, toutefois, de plus personnel, c’est que je suis frappé aussi par votre maîtrise du récit – puisque vous voulez écrire encore. Il y a une « montée en puissance » du livre qui est remarquable et qui augure bien de vos prochains travaux. Je vous dis cela en tant que « grand lecteur », depuis mon enfance, et écrivain. Votre facture n’est pas classique, ce n’est pas Stendhal, mais c’est vous, et c’est là l’essentiel.
Merci pour ton témoignage si touchant, vivant et pudique.
J’ai lu d’une seule traite à Noël un livre qui m’a bouleversée et remis les pendules à l’heure.
Que te dire de ce livre ?
Des mots doux pour conjurer le sort.
Une écriture légère pour dire l’indicible.
Mais sans fuir. Félicitations de cette justesse.
Tu as soigneusement posé et le plus justement possible, chaque mot pour dire cette vie avec beaucoup de pudeur.
On sent que tu as voulu garder cette innocence de l’enfance face à ce que tu ne savais pas être une horreur …
C’est difficile après tant d’années de replonger dans les émotions passées … admirable.
C’est sans doute ce qui fait de toi la femme d’aujourd’hui et de demain.
Quelle furieuse envie de vivre, ma chère Rose !
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